Lu récemment dans l’hebdomadaire local « Liberté de Normandie », récemment racheté par un sous groupe de Ouest-France, appelé Publihebdos, un article écrit dans la rubrique « rue des Caen-can ».
L’auteur de ce papier d’humeur s’indignait de ce que deux anciens footballeurs de Malherbe, Lebourgeois et Dedebant ne fassent pas partie des invités habituels du Club, auquel ils ont rendu bien des services dans les années passées.
« Ces supporters supportent leur équipe fétiche de chez eux » s’indigne le journaliste.
Le journaliste ne doit pas savoir qu’il collabore à un journal dans lequel votre serviteur a servi sans jamais compter ses heures pendant plus de 37 ans. Qu’il a été invité dans un cadre légal à faire valoir ses droits à la retraite, contre un chèque confortable bien sûr mais que du jour où il a quitté son poste, il est redevenu un lecteur comme les autres.
Le journal n’a pas les moyens apparemment de lui servir un journal à domicile chaque semaine. Même politique pour les trois collaborateurs invités à faire jouer comme lui la clause de cession. Il n’y a pas manifestement pour le nouvel éditeur de petites économies…..
Alors avant de chercher la paille dans l’œil du voisin …..
Depuis, votre humble serviteur a été sommé , par téléphone, de ne plus mettre les pieds sur son ancien lieu de travail. Formellement interdit de séjour. Quel culot d’avoir osé dire, ce qu’il pensait de celui qui a pris les rênes, de cet hebdomadaire. Ce garçon était arrivé avec sa direction neuf mois plus tôt en annonçant clairement qu’il n’y avait aucune inquuiétude à se faire pour le personnel qui manifestait ses doutes. Personne ne serait remercié.
Pourtant depuis, quatre journalistes sont partis , plus un administratif et très bientôt une administrative. En tout ce sera 30 % des effectifs qui auront été invités, contre un chèque à aller voir ailleurs….
On est très loin des conceptions d’humanisme développées régulièrement par François Régis Hutin, PDG du groupe Ouest-France.
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